Meg Stuart / Damaged Goods / Dance On Ensemble

GLITCH WITCH

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coproduction / Première mondiale

GLITCH WITCH

Meg Stuart
Damaged Goods
Dance On Ensemble

Fruit d’une collaboration de 20 ans avec Meg Stuart et sa compagnie Damaged Goods, Garonne accueille la première mondiale de ce spectacle qu’elle crée avec la danseuse Omagbitse Omagbemi et la musicienne Mieko Suzuki. Elles décident de porter un regard sur ce que signifie la cocréation.

L’ensemble Dance On dont fait partie la danseuse Omagbitse Omagbemi, et qui travaille uniquement avec des artistes de plus de 40 ans, lance une série appelée « Encounters » dont le principe est le suivant : faire se rencontrer un·e chorégraphe et un·e danseur·se et rendre visible au plateau les corps dans le processus créatif. Ce projet aborde des questions fondamentales : comment partager un processus créatif ? Quel est l'équilibre entre le désir chorégraphique et la liberté d'interprétation ? Comment transgresser et réinventer les rôles ? C’est avec la compositrice et musicienne Mieko Suzuki qu’elles vont traverser cette expérience en tentant de trouver un langage commun pour faire advenir leurs histoires dans un rapport d’égal à égal. Entre physicalité brute, et attention apportée aux détails du geste dansé, toutes trois portent cette création à brasle- corps, en faisant dialoguer subtilement leurs regards sur l’objet créé. Coexister, c’est bouger ensemble, bouger ensemble c’est vivre ensemble et il n’y a probablement rien de plus politique.

Danse
16 > 18 Octobre
mer 16 oct / 20:00jeu 17 oct / 20:00ven 18 oct / 20:30

durée 1h30
coproduction / création / première mondiale
Belgique / Allemagne / États-Unis
Tarif de 5€ à 23€
GLITCH WITCHEntretien

La chorégraphe Meg Stuart a été invitée par le Dance On Ensemble à créer une pièce pour la danseuse Omagbitse Omagbemi dans le cadre de leur série « Encounters », dans laquelle les chorégraphes deviennent visibles sur scène grâce à une rencontre avec un membre de l'ensemble. Elle a invité Mieko Suzuki à se joindre à elle en tant qu'interprète, musicienne et compositrice, transformant ainsi le solo en trio. Après deux mois de répétitions, les artistes réfléchissent à leur processus de création dans une conversation avec le dramaturge Igor Dobričić

Igor : Comment la transmission et l'interprétation se rencontrent-elles dans le processus de création ? Ces deux modes reflètent-ils des mécanismes de domination ou peuvent-ils atteindre un certain équilibre ?

Meg : Bien sûr, tout peut refléter un mécanisme de domination ou une relation de pouvoir, mais ce n'est pas ce qui m'intéresse. Pour l'instant, Omagbitse et Mieko ont encore beaucoup d'espace pour interpréter les consignes que je suggère. Nous sommes constamment en train de négocier, d'interpréter et de nous adapter en temps réel, afin de parvenir à une vision commune, et pas seulement la mienne.

Omagbitse : Je pense que tout ce que nous faisons implique une interprétation. Nous recevons des informations, nous essayons d'assimiler ce qui a été dit, puis nous interprétons à notre manière. Meg dicte, mais en tant qu'interprète, vous pouvez toujours enfreindre les règles. C'est aussi une forme de pouvoir avec laquelle on peut jouer.

Igor : D'une certaine manière, ce travail subvertit les relations de pouvoir conventionnelles en variant les positions que vous prenez l'une par rapport à l'autre sur scène. Et Mieko, en tant que musicienne, en étant au plateau et en impactant l’espace, tu modifies aussi les relations de pouvoir.

Mieko : La musique a du pouvoir. Elle a sa propre voix, elle résonne dans l'espace et, en ce sens, elle peut être dominante. Mais je la comprends comme une forme d'émission et de réception d'informations et de vibrations entre les musiciens et les interprètes, ou entre les interprètes, et ces relations peuvent évoluer dans différentes directions.

Igor : Et qu'en est-il de la pratique à laquelle tu participes aujourd'hui ? Quelle est ta position dans le processus créatif sur scène ?

Mieko : C'est très intéressant. Je connais Meg et sa façon de créer. Cela m'a toujours beaucoup inspirée en tant que musicienne. Mais maintenant, je me dis : oh merde, j'ai aussi un corps. Je peux exprimer mon inspiration par le mouvement.

Omagbitse : J'ai beaucoup d'amis dans le monde de la danse avec lesquels j'ai joué et dont je suis devenue très proche, même si je ne sais pas grand-chose d'eux en dehors de ce spectre. Je pense que c'est parce que nous devons nous toucher les uns les autres de manière très intime.

Mieko : Vous, les danseurs, parlez beaucoup de toucher, mais même si je ne vous touche pas physiquement quand je fais de la musique, je suis vraiment dans vos esprits, je circule dans vos corps. J'ai l'impression de partager beaucoup de choses.

Meg : Lorsque je danse pour mon propre travail, j'ai l'impression de me retrouver d’égal à égal, parce que je deviens une danseuse. Et en tant que danseuse, j'essaie de façonner le temps et l'espace, comme je le ferais dans n'importe quelle improvisation. J'ai des préférences, mais si cela n’advient pas, ça n’advient pas.

Igor : La transmission peut aussi se faire d’une manière négative : on fait ses propres choix, en influençant ensuite les choix des autres et de celles et ceux qui reproduisent ou interprètent. On fait seulement ce qu’on veut. Et en occupant cette place, on définit la place des autres.

Meg : Je pense que le simple fait d'être ensemble crée un contrepoint. Comment cherchons-nous un langage commun ?

Igor : En sociologie et en politique, les « biens communs » désignent l'espace mental, social, émotionnel et architectural que nous partageons, ainsi que notre responsabilité sociétale à l'égard des autres. Selon la définition d'Hannah Arendt, l'espace est créé par la distanciation ; ainsi, l'espace public est l'espace non pas de l'accord mais du désaccord - car chacun doit se positionner « à distance » afin d'établir une relation. D'une certaine manière, la langue commune est la langue dans laquelle nous osons être en désaccord les uns avec les autres.

Meg : Cela peut être plus ludique. Nous donnons de l'espace non seulement à la transmission ou à l'interprétation, mais aussi à la mauvaise interprétation, et nous créons de l'humour à partir de cela. Le langage commun est que nous sommes d'accord pour faire les mêmes mouvements, et nous essayons de le faire sans ego. Normalement, l'unisson est un élément classique de la danse dont je passe beaucoup de temps à essayer de m'éloigner. Mais il y a une puissance dans cette expression de solidarité, précisément parce que nous sommes des individus très forts.

Omagbitse : Même si nous ne sommes pas toujours d'accord et qu'il y a des erreurs d'interprétation, nous nous efforçons toujours de créer quelque chose d'entier en tant que groupe, y compris le son, les lumières et la musique.

Igor : Qu'est-ce que ce travail a provoqué chez vous jusqu'à présent ? Où en êtes-vous aujourd'hui dans le processus de création ?

Omagbitse : Je pense que j'arrive à quelque chose. Je ne sais pas encore où. Parce qu'à chaque fois que j'improvise, je reviens à quelque chose. Je ne sais pas exactement où se trouve le point de départ, et je trouve toujours quelque chose d'autre, mais j'essaie de m'accrocher lentement à ce que j'ai fait la dernière fois.

Mieko : Pour moi, la musique façonne tout. Il y a des moments dans le morceau où je bouge mon corps, mais j'ai besoin de comprendre ce qui est au centre. C'est le moment pour moi de comprendre de quoi il s'agit, musicalement, et c'est pour bientôt, mais la structure n'est pas encore tout à fait là. J'attends avec impatience ce « déclic », ce moment où je pourrai dire « c'est ça ».

Meg : Je ressens un sentiment d'atterrissage. Nous avons quelque chose à approfondir. Nous retraçons la complexité et la multiplicité de notre rencontre de différentes manières. Chaque jour, je me dis que mes collaboratrices sont des femmes fortes. Cela m'amène à me demander ce que signifie être une femme forte. Qu'est-ce que c'est que d'être forte, d'être une femme et d'être avec des femmes qui font de l'art dans cette relation ? L'une des façons dont je me rapproche d'Omagbitse est le plaisir que j'éprouve à danser avec elle, non seulement parce qu'elle est une danseuse très douée, mais aussi parce que le projet Dance On signifie que nous avons toutes les deux la cinquantaine. Se rencontrer à ce moment de notre vie permet de prendre de la distance et de s'enrichir. Nous nous déplaçons avec une abondance de connaissances, d'histoire et d'imagination. Et puis, des moments d'humour apparaissent, qui sont précieux. Rire de soi est une façon de montrer sa vulnérabilité et d'admettre que l'on ne sait pas non plus - ce qui semble être une contradiction. Grâce à l'intimité de tout ce processus, nous sommes ensemble tout en nous tenant nous-mêmes, notre propre espace et les négociations qui se déroulent.

Entretien réalisé pour le théâtre Garonne, en mai 2024

à propos d'Encounters

Avec Encounters, le Dance On Ensemble lance une nouvelle série de pièces dans lesquelles les chorégraphes deviennent visibles sur scène en tant que danseurs. Physiquement présents sur scène, ils partagent une rencontre avec un danseur de l'Ensemble Dance On.
La série est basée sur l'idée que le processus chorégraphique ne se limite pas à l'imagination d'une personne, mais s'enracine dans son être physique. Le corps du chorégraphe est donc rendu visible dans Encounters. La collaboration est un partenariat d'égal à égal. Encounters aborde des questions fondamentales, telles que la nature des processus créatifs partagés et la relation entre la chorégraphie et l'interprétation.
La première pièce de la série est une rencontre entre deux femmes. La chorégraphe Meg Stuart et la danseuse de Dance On Ensemble Omagbitse Omagbemi collaborent pour créer un nouveau duo. Les chorégraphes de cette série sont choisis conjointement par les danseurs et le directeur artistique du Dance On Ensemble. Des discussions sont en cours avec les chorégraphes Lucinda Childs, Eszter Salamon et Noé Soulier pour compléter la série.

À propos du Dance On Ensemble

La mission du Dance On Ensemble

site internethttps://dance-on.net/en/

Quand devenons-nous vieux ? Comment l'expérience et le savoir incarné peuvent-ils être intégrés dans le jeu créatif ? Et quel est le rôle de la danse dans la remise en question de l'idéalisation de la jeunesse dans notre culture ?

Face aux défis démographiques auxquels notre société est confrontée, l'organisation culturelle à but non lucratif Bureau Ritter défend la valeur de l'âge et de l'expérience depuis 2014 avec son initiative Dance On. 

La vision dominante de l'âge est qu'il s'agit d'une période de déclin mental et physique. Les danseurs et les danseuses sont particulièrement touchés par cette croyance car iels sont traditionnellement censé·s se retirer de la scène vers l'âge de 40 ans - à un moment où d'autres professions commencent tout juste à profiter de leur formation et de leur expérience.

L'ensemble Dance On, pour les danseurs de plus de 40 ans, fondé à Berlin en 2015, montre qu'il existe une autre voie et que tout le monde y gagne : les danseurs et danseuses, la danse et la société. Les danseurs et danseuses expérimenté·es ont la capacité de puiser dans les profondeurs mentales et émotionnelles du matériel chorégraphique. Iels sont présents avec toute leur expérience vécue. De plus, leur intelligence physique et leur charisme apportent une nouvelle dimension au spectacle qui peut accroître le plaisir du public.

Enfin, le projet aborde également un problème central de notre société : la manière dont les personnes âgées sont considérés. Nous pensons que l'expérience de vie des personnes âgées est un atout précieux, mais qu'un changement de mentalité est nécessaire pour le reconnaître. Dance On s'efforce de travailler à ce changement : la vieillesse n'est pas un état qui peut être défini de manière rigide ou décrit par des chiffres. En réalité, le vieillissement est un processus continu de croissance et de développement que chacun expérimente en permanence - un état d'être en mouvement constant.

Citations

L'intérêt que je porte à la collaboration avec Meg Stuart provient de son approche sensible et précise du travail scénique. Une approche qui n'est pas toujours visible car son mouvement apparaît dans une forme de physicalité brute. Mais la finesse de son geste est toujours sous-jacente au mouvement, et ce que j'aime particulièrement c'est la sauvagerie et l'abandon. Ses pièces sont imprégnées de passion, d'intensité, d'intelligence, toutes choses que je recherche dans les œuvres que l'on me demande d'interpréter et que je trouve stimulantes. Je me réjouis de la vulnérabilité que la proximité du chorégraphe et du danseur créera pour nous deux dans cette création. Partager la scène avec l'autrice de sa propre œuvre, dans sa propre œuvre, est une perspective à la fois excitante et terrifiante. J'imagine qu'il en va de même pour Meg. J'ai hâte de faire l'expérience de tout cela et de travailler à dépasser les attentes que nous pouvons toutes les deux avoir.

Omagbitse Omagbemi

 

Presque tout le travail consiste à essayer de trouver un espace commun, un langage commun et une quantité d'expériences très diverses que nous partageons dans le processus de création afin d'y accéder sans parler. J'essaie également de faire ressortir l'individualité des interprètes. J'essaie de mettre en valeur leurs différences. Pour moi, il est très important qu'il y ait autant de tension qu'une sorte de fusion des valeurs et des corps. (...) Je choisis les interprètes avec beaucoup de soin, c'est le premier point. S'il s'agit de toucher et de magie, je sais où certaines personnes rencontreront le travail ou quels sont leurs intérêts. Je ne veux pas exploiter leurs histoires, mais je les connais et je les ressens. (...) Je donne aux danseurs les moyens de créer le matériel que je souhaite voir !

Meg Stuart

Biographies

Meg Stuart est une chorégraphe, metteuse en scène et danseuse vivant et travaillant à Berlin et à Bruxelles. Avec sa compagnie, Damaged Goods, fondée en 1994, elle a créé plus de trente productions, allant de solos et duos tels que BLESSED (2007) et Hunter (2014) à des chorégraphies de groupe telles que VIOLET (2011) et CASCADE (2021), des œuvres vidéo, des créations in situ telles que Projecting [Space[ (2017-2019), et des projets d'improvisation tels que City Lights (2016). Le travail de Stuart évolue librement entre les genres de la danse, du théâtre et des arts visuels, animé par un dialogue permanent avec des artistes de différentes disciplines. À travers des fictions et des couches narratives changeantes, elle explore la danse comme une source de guérison et un moyen de transformer le tissu social. L'improvisation est un élément important de la pratique de Stuart, afin de traverser des états physiques et émotionnels et de convoquer leur souvenir. Elle transmet son savoir par le biais d'ateliers réguliers et de classes de maître, à l'intérieur et à l'extérieur du studio. Meg Stuart a reçu plusieurs prix en reconnaissance de son œuvre, dont le Lion d'or pour l'ensemble de sa carrière à la Biennale de Venise en 2018.

Omagbitse Omagbemi a obtenu sa licence en danse à l'Université d'État de Montclair. En 2012, elle a reçu un Bessie pour ses performances soutenues. Elle s'est produite à l'échelle nationale et internationale avec la compagnie Punchdrunk dans "Sleep No More" à New York et à Shanghai, ainsi que dans des œuvres de Kat Válastur, Joanna Kotze, Yvonne Rainer, NeilGreenberg, Vicky Shick, Maria Hassabi, Heather Kravas, Jon Kinzel, Deborah Hay, RalphLemon, Wally Cardona, David Gordon, Jeremy Nelson, Keely Garfield, Irish Modern DanceTheater, Walter Dundervill, David Thomson, Anna Sperber, Bill Young, Pearson/Widrig Dance, Urban Bush Women, Shapiro & Smith, Gerald Casel, Barbara Mahler, Christopher Williams, Sean Curran et Kevin Wynn. Depuis 2018, elle est membre de Dance On Ensemble. 

Mieko Suzuki est une DJ, artiste sonore et compositrice née à Hiroshima et basée à Berlin. Enracinées dans les basses profondes, ses performances sonores combinent des drones et des enregistrements de terrain avec le crépitement de circuits électriques et des fragments de disques vinyles. Son approche expérimentale accorde toujours une attention particulière à l'espace et aux personnes, qu'il s'agisse d'un club, d'une pièce de théâtre ou d'un spectacle de danse. La chorégraphe Meg Stuart, le metteur en scène Johan Simons et le label techno d'avant-garde Raster comptent parmi ses collaborateurs créatifs réguliers. Mieko Suzuki est membre du trio d'improvisation Contagious avec Andrea Neumann et Sabine Erkelenz. Leur premier album Contagious a été publié par MorphineRecords en 2019. Depuis 2009, elle dirige son propre événement bimensuel et multidisciplinaire, Kookoo, avec Arno Raffeiner, à la galerie OHM à Berlin. Elle a collaboré avec MegStuart sur City Lights (2016), Celestial Sorrow (2018) et Waterworks (2023). 

Nadia Lauro développe son travail d'artiste visuelle et de scénographe depuis plusieurs décennies dans différents contextes (espaces scéniques, architectures paysagères, musées). Elle a conçu des décors, des environnements et des installations visuelles dotés d'un fort pouvoir dramaturgique, générant ainsi de nouvelles façons de voir et d'être ensemble. Nadia Lauro a collaboré avec des chorégraphes et des interprètes internationaux tels que Vera Mantero, Benoît Lachambre, Frans Poelstra, Barbara Kraus, Antonija Livingstone, Latifa Laabissi, Jule Flierl, Kate McIntosh, Marion Siéfert et Jennifer Lacey, avec lesquels elle a cosigné de nombreux projets. Elle a reçu un Bessie award pour son installation visuelle dans $Shot (Lacey/Lauro/Parkins/Cornell). Depuis 2014, Nadia Lauro est artiste associée au festival ExtensionSauvage (Latifa Laabissi / Figure Project).

GLITCH WITCHGénérique

chorégraphie Meg Stuart
avec Omagbitse Omagbemi, Meg Stuart, Mieko Suzuki 
musique live Mieko Suzuki
scénographie Nadia Lauro
création lumière Nico de Rooij
création costume Claudia Hill en collaboration avec les performeuses
dramaturgie Igor Dobričić
assistant.es artistique Luna Luz Sanchez, Valentin Braun
assistantes costumières Kahori Furukawa, Juliane Längin
coordinateur technique Tom De Langhe
son Vagelis Tsatsis
lumières Nico de Rooij/Kevin Strik
régisseur de plateau Matty Zighem
directrice de production Hélène Philippot

production Damaged Goods et DANCE ON / Bureau Ritter coproduction théatre Garonne – scène européenne, Toulouse, Centre Chorégraphique National d’Orléans – Direction Maud Le Pladec, HAU Hebbel am Ufer Berlin, Tanzquartier Wien, PACT Zollverein Essen, Kunstencentrum VIERNULVIER Ghent, Perpodium avec le soutien du Goethe- Institut et la tax shelter du gouvernement fédéral belge via Cronos Invest La résidence à Orléans est soutenue par Culture Moves Europe, un projet financé par l’Union européenne et le Goethe-Institut. Damaged Goods est soutenu par le gouvernement flamand et la Commission communautaire flamande Meg Stuart/Damaged Goods est artiste en résidence au Kunstencentrum VIERNULVIER (Gand). DANCE ON est un projet du Bureau Ritter gUG, financé par le commissaire du gouvernement fédéral allemand pour la culture et les médias, le Département sénatorial de la culture et de la cohésion sociale du Land de Berlin et cofinancé par le programme Creative Europe de l’Union européenne dans le cadre de DANCE ON, PASS ON, DREAM ON

créé le 16 octobre 2024 au théâtre Garonne, Toulouse

Tournée (en cours d'organisation)

16 au 18 octobre 2024, au théâtre Garonne, à Toulouse
4 au 6 décembre 2024, au Kaaitheater, à Bruxelles
12 & 13 décembre 2024, au Concertgebouw Brugge, à Bruges
19 au 21 décembre, au Kunstencentrum VIERNULVIER, à Ghent
21 & 22 mars, au Tanzquartier Wien, à Vienne